Fangirl-saintseiya

         Le lycée “Marinas” avait ouvert ses portes depuis maintenant 58 ans. Rien de bien contraignant. Hormis quelques élèves un peu turbulents mais rien de plus. Le directeur, Solo Julian et la sous-directrice, Kido Saori, n'étaient pas très stricte, mais gentil. Ce qui faisait que les élèves étaient tous gentils envers eux. Et évitée de causé des problèmes. Mais, c'était sans compter sur l'un des mauvais élèves, Bian de l'hippocampe. Encore une fois, après avoir était renvoyé il fût conduit au bureau du directeur par le délégué général, Sorrento de la Sirène. Le jeune délégué était quelqu'un de très calme et posé. Il réfléchissait toujours avant d'agir, ce qui n'était pas donné au jeune homme derrière lui.


Bian: Tu vas vraiment m'emmené là dedans?
Sorrento: Si tu arrêtais tes remarques désobligeantes envers les professeurs qui ne t'ont rien demandés. Je n'aurais pas à faire sa tous les jours.
Bian: Tu va pas me dire que tu aimes les cours.
Sorrento: Je ne les aimes pas. Mais je ne les déteste pas non plus.
Bian: Rabat-joie.
Sorrento: C'est l'hôpital qui se fiche de la charité.
Bian: Hein?
Sorrento: Laisse tomber. (Toque à la porte)


        Après un “entré” entendant, Sorrento poussa la porte et laissa entrer Bian.


Julian: Encore toi.
Bian: Je vous est manqué?
Julian: Que c'est-il passé cette fois?
Sorrento: Remarque envers un professeur. À faillit frapper un élève. Et en à insulter un autre.
Julian: Bian. Que faut-il que je fasses pour que tu te tiennes tranquille?
Bian: Renvoyez moi.
Julian: Ce n'est pas possible. Tu devrais le savoir.
Bian: Pff...
Sorrento: Le professeur à exigé de lui une lettre d'excuse écrite de sa main. Pour la semaine prochaine.
Julian: Je ne vais tout de même pas te mettre en heure de colle pour être sûr que tu la fasses.
Bian: Non.
Julian: Je sais. Ce soir, et toute cette semaine, tu iras au bureau du délégué. Tu y écriras ta lettre. Si tu as besoin d'aide, demande à Sorrento. Je suis sûr qu'il t'aideras.
Sorrento:...
Bian: Vous êtes sérieux?
Julian: Je suis assez gentil comme ça avec toi. Ne me fais pas changé d'avis.
Bian: Bien Monsieur.
Julian: (Souri) Sorrento. Je compte sur toi.
Sorrento: Oui Monsieur.
Julian: Vous pouvez retourner en cours.


       Les deux jeunes hommes sortirent du bureau et prirent le chemin de la classe.


Bian: Tu va vraiment me surveiller?
Sorrento: Le directeur m'as seulement demandé de t'aider.
Bian: Faudrais p't être te décoincé un peu.
Sorrento: Je ne t'est rien demandé.
Bian: C'est pas comme ça que tu trouveras une copine.
Sorrento: Je ne cherche pas.
Bian: Hein?
Sorrento: Ça ne m'intéresse pas.
Bian: Mais y'as plein de canon! Suffit de voir Marine! Ou Shaina!
Sorrento:On est arriver. On se retrouve devant la salle du délégués se soir. (Toque et rentre)


       Les cours de la matinée se passèrent comme d'habitude. A midi, Sorrento alla rejoindre ses amis qui se composaient de: Shun, Chrysaor, Shaka, Shiryû, Hyôga, Aphrodite, Kanon, Rhadamanthe, Saga, Deathmask, Camus, Milo, Marine et Shaina. Pour manger dehors sous un arbre.


Shaina: Bian à encore fait des siennes?
Shun: Mmh...Mais on a l'habitude. Pas vrai?
Hyôga: Peut-être mais ça nous empêche de travaillé.
Saga: La présence de Shun t'en empêche.
Hyôga et Shun: (Rougis)
Aphrodite: Comme ils sont mignons.
Deathmask: (Regarde Aphrodite)
Aphrodite: Mais tu restes le plus mignons de tous.
Deathmask: Ne dit pas que je suis mignon.
Aphrodite: Aye aye. (L'embrasse chastement)
Io: Et? Tu n'as toujours trouvé personne Sorrento?
Sorrento: Les études sont plus importantes.
Milo: Tu devrais te trouver quelqu'un.
Camus: Je suis d'accord.
Shaka: C'est bien d'être concentré sur tes études mais...
Shiryû: Tu vas louper tes meilleurs années lycée.
Sorrento: Je verrais.
Kanon: C'est réglé.
Rhadamanthe: (Le regarde comme si il allait le manger)
Marine: Et un Kanon qui boite. Un.
Kanon: (Rougi) Ma-MARINE!!


        Tous le monde rigola à la plaisanterie de Marine. Même Sorrento, qui ne souriait que très peu. Eu un franc sourire. Ce qui est l'effet d'en paralyser un de l'autre côté de la cour.


Thétis: Bian?
Bian: Mmh? Tu disais?
Thétis:...Tu ne serais pas amoureux?
Ikki: Bian? Amoureux? J'aimerais bien savoir de qui.
Bian: De Pandore.


         Cette réponse eu pour résultats une petite tape derrière la tête.


Bian: Wouah...Faut pas toucher à ce qui t'appartiens.
Ikki: Pandore n'est pas un objet. Mais elle est à moi.
Pandore: (Lui sourie)
Eaque: Et donc? Qui regardais tu comme ça?
Minos: Le groupe d'en face.
Seiya: Qui est là bas?
Mû: Mmh...Le groupes du délégué.
Shura, Aiolia et Chrysaor: Il est hors de ta porté.
Bian: De qui vous parlez?
Caça: On a remarqué que le p'tit délégué t'avait tapé dans l'oeil.
Bian: Vous êtes malade!?
Aldébaran: Bian, on sait tous que tu es homo. Alors, te caches pas.
Thétis: Le plus dur. C'est de savoir si il est du même bord ou non.
Pandore: C'est vrai. Il n'as pas une tête à être gay.
Bian: (Baisse la tête)
Pandore: Désolée. Ce n'est pas...


           Bian releva la tête, et s'écria tout en attirant l'attention de tous le monde présent dans la cour:


Bian: MAIS VOUS ALLEZ ME FOUTRE LA PAIX AVEC CE TYPE!! MERDE, JE L'AIME PAS!!


           S'en suivit un gros blanc au milieu du groupe. Briser par...


Sorrento: (Arriver) Pourrais tu éviter de crier? Tu causes du désagrément aux autres élèves.
Bian: Qu'est-ce que tu veux que ça me foutes?
Sorrento: Je te le demande gentiment.
Bian: Pff. Tu fais seulement ton boulot.
Sorrento: (Soupir) Il n'y a pa que ça.


           Bian se leva et lui fit face. Ses amis, sachant de quoi il était capable énervé se tenaient près à intervenir.


Bian: Ha ouais. Et pour quoi d'autres?
Sorrento: (Se penche vers l'oreille de Bian et murmure) Je ne veux pas que tu est d'autres problèmes.


              Et sur ses mots, Sorrento se retourna et alla rejoindre ses amis, laissant Bian, debout. Rougissant.


Pandore: Bian? Ça va?
Bian: Ou-oui! Bien sûr que oui.
Ikki et Seiya: (Se mette devant lui) Pfft.
Pandore: Ikki?
Thétis: Seiya?
Seiya: Il est...
Ikki: Il est...
Tous sauf Ikki, Seiya et Bian: “Il est”?
Seiya et Ikki: IL EST TOUT ROUGE!!
Bian: La ferme! (Part)
Eaque: J'ai l'impression, que le délégué lui fait plus d'effet qu'il ne veut se l'avouer.
Caça: Pourquoi ne pas l'aider à s'en rendre compte?
Minos: Il a une semaine pour s'en rendre compte.
Mû: Mmh...Bien, on devrait retourné en cours.


            Tous le monde se levèrent et partirent en cours. Certains se séparèrent, n'appartenant pas à la classe de leurs amis. Après, 2 heures de français, 2 heure de philosophie et 1 heure de latin, Sorrento attendait Bian devant la salle du délégué. Quand il le vit arriver, cela faisait déjà 20 minutes que les cours étaient fini.


Sorrento: Que faisais-tu?
Bian:...Ça te regarde?
Sorrento: J'aimerais ne pas perdre mon temps. La prochaine fois, vient ici directement.
Bian:...
Sorrento: Tu m'écoutes?
Bian: Ou-Oui...
Sorrento: Bien. Rentrons.


      Ils rentrèrent dans le bureau, et Sorrento alla s'assoir à sa place habituel. Bian s'assit en face de lui et commença à rédiger sa lettre d'excuse au brouillon. Il se passa 16 minutes dans le silence avant que:


Bian: Mo!! Ras-le-bol!!
Sorrento: Ça ne fait que 15 minutes.
Bian: T'arrive à bosser dans le silence?
Sorrento: C'est mieux pour la concentration.
Bian:...T'es bizarre.
Sorrento: Personne n'est “bizarre”. Ne sont “bizarre” que les chose inexplicable.
Bian: Inexplicable?
Sorrento: Oui. (Pose sa feuille)
Bian: Mmh?
Sorrento: Je fais une pose. Je suppose que cela ne seras pas ta seule question.
Bian: Tch. Fais ton boulot. Plus vite tu finiras, plus vite je pourrais rentrer chez moi. Tes parents doivent être inquiet de te voir rentrer aussi tard. Tout ça pour le lycée.
Sorrento: Mes parents?
Bian: Ouais.
Sorrento: Ma mère est morte. Mon père travaille souvent à l'étranger. Il doit être aux Indes en ce moment.
Bian: Pardon. Je savais pas.
Sorrento: Ce n'est pas comme si je racontais ma vie sur tout les toits.
Bian: Ouais...C'est vrai...
Sorrento: Et toi?
Bian: Je suis orphelin. C'est pour cette raison que je signe moi-même mes mots d'absences et autres.
Sorrento: Moi qui pensais que c'était parce que tu étais émancipé.
Bian: Et non. Dommage...Mmh...
Sorrento: Quoi?
Bian: Pour la lettre. Comment je devrais commencé?
Sorrento: “Monsieur Hadès” Après tout, il faut toujours mettre le destinataire. Après, tu présentes tes remords sous forme de mot.
Bian: C'est facile.
Sorrento: Il faut trouvé les bons mots.
Bian: Mmh...Mer-Merci.
Sorrento: Je suis là pour ça. Autant y mettre de la bonne volonté.
Bian: Mmh....(Voit le papier) C'est quoi?
Sorrento: Ça? C'est un avis d'exclusion.
Bian: Pour qui?
Sorrento: (Lit le nom) Un élève.
Bian: Roh...Allez dit moi qui c'est.
Sorrento: Je n'en est pas le droit.
Bian: De toute façon, pourquoi c'est toi qui les a?
Sorrento: Pourquoi suis-je le délégué principal?
Bian: Uhm? Parce qu'on t'as élus. Et que les élèves te font confiance.
Sorrento: C'est aussi pour cette raison que j'ai cette avis d'exclusion devant moi.
Bian:...
Sorrento: Tu m'excuse. Il faut que je travaille.
Bian: Vas-y.


          Sorrento se concentra sur ses papiers. En signant certain, en griffonnant quelque chose sur d'autres. Une heure passa, et Bian n'avait pas cessait de fixer Sorrento.


Sorrento: Bien. (Referme le dossiers) On s'en va?
Bian: Ha...euh...ouais...
Sorrento: Tu n'as rien écrit.
Bian: Mmh...Ouais...on verra demain. (Se lève)


          Sorrento et Bian sortirent de l'établissement, tout en fermant à clé le bureau et le lycée. Ils partirent chacun de leurs côtés. Et une routine s'installa. Cela faisait 3 jours que Bian allait dans la salle du délégué pour rédiger la lettre. Nous sommes donc Jeudi midi.


Ikki: Dit Bian, tu vas encore retourner dans la salle du délégué?
Bian: Ouais...obligé.
Pandore: Quelque chose me dit que tu es bien content d'y allé.
Bian: Qu-quoi?
Chrysaor: On a tous vu t'as façon de le regarder. Avoue.
Eaque: Notre petit Bian est tombé amoureux.
Thétis: Que c'est mignon.
Bian: Vous êtes malades?!


        Au même moment, de l'autre côté de la cours:


Saga: Alors? Toujours pas dit?
Sorrento: (Mange)
Io: Tu devrais lui dire. Ça fait 3 jours déjà.
Shaka: Et puis, nous connaissons son bord.
Shun: Sorrento! Vas-y!
Hyôga: Va le voir. Et dit lui...je sais pas...
Camus: “Il faudrait que je te parle de quelque chose d'important. Ne sois pas en retard.”
Milo: J'ai déjà entendu ça quelque part...
Shaina: C'est pas ce que t'avais dit Camus à votre premier rendez-vous?
Milo: Ha si. Possible. (Rigole)
Sorrento: (Se lève)
Kanon: Sorrento?
Sorrento: Je vais lui parler.
Marine: On te soutiens!!
Rhadamanthe: Reviens avec une bonne nouvelle.
Sorrento: (Prend son sac) Les cours vont reprendre. C'est pour ça que j'y vais maintenant. (Part)


         Sorrento s'approcha de Bian qui lui tournait le dos. Il entendit “vous êtes malade”. Il souri légèrement, c'était bien son genre de dire ça. EN s'approchant il comprit de qui ils parlaient tous.


Bian: Je ne pourrais jamais sortir avec. Il est trop coincé pour moi. Et puis, je suis sûr à 90% qu'il est hétéro. Enfin, bref. Tout ça pour vous dire, qu'il ne fait que m'aider pour cette foutu lettre. Un fois, la semaine obligatoire passé. Je me casse le plus vite possible le soir. Ça seras un soulagement de plus le voir! Moi, je vous le dit.
Eaque: Bian...tu devrais te taire.
Bian: Et pourquoi? C'est pas comme si le délégué principal allait se pointer derrière moi!


        Bian entendit quelqu'un toussotait, et regrettât amèrement ses mots qui lui avait fait mal au coeur en les prononçant et il n'avait toujours pas à savoir pourquoi. Il se retourna lentement, et tomba sur Sorrento. Le regard ni froid. Ni joyeux. Le regard, qui n'arrivais pas à lire. Il allait s'excuser, mais Sorrento à était plus rapide.


Sorrento: Bian de l'hippocampe. Si mon aide te dérange tant que ça. Rien ne t'interdis de faire ta lettre d'excuse avec tes amis. Et pendant que tu y est. Fais en une pour les insultes que tu as dit derrière mon dos. Et ne me parle plus. Sur ce. (S'en va)
Bian: (Prend son sac) SORRENTO!! (Le suit)
Sorrento: Qu'est-ce que tu veux? Je n'est pas était assez clair? Ne m'adresse plus la parole.
Bian: Excuse moi. Je n'aurais pas dû dire ça! Je suis vraiment désolé. Sorrento! (Lui attrape le poignet)
Sorrento: (Se retourne) Tu ne penses pas m'avoir fait assez de mal?
Bian: Écoute moi. Je suis désolé. Vraiment.
Sorrento: T'as fini? J'aimerais retourner en cours.
Bian: Je...
...: Un problème Sorrento?
Sorrento: Aucun Deathmask.
Deathmask: Tu sais où me trouver si t'en a un.
Sorrento: Ne t'en fais pas.
Bian: Tu sors avec lui?
Sorrento et Deathmask: Hein?
Bian: Sorrento...tu sors avec lui?
Sorrento: N...
Deathmask: (Souri et attrape Sorrento par les hanches) Et si c'était le cas?
...: Je te frapperais jusqu'à ce que mort s'en suive.
Deathmask: (Lâche Sorrento) Aphro...Je...
Aphrodite: Une bonne explication s'impose. (Tire Deathmask par son oreille)
Bian: Qu'est-ce que...
Sorrento: Deathmask sors avec Aprhodite.
Bian: Hahaha.....(Rigole nerveusement et tombe à genoux)
Sorrento: Bian?
Bian: Ça va...Né...(attrape son poignet) Pardonne moi...Pardon...je ne voulais pas dire ça...
Sorrento: Je te les dit. Fais une lettre d'excuse. Si tu prend le temps de l'écrire, je te croirais.
Bian: Compris...(Part en classe)
Sorrento: (Soupire) Au final...je n'est rien dit...


         L'après-midi passa tranquillement. Le soir, 17 heures, Sorrento attendait Bian dans la salle tout en commençant ses papiers. A 18h04, il commença à s'inquiétait. Il prit son téléphone et le dossier de Bian quand quelqu'un toqua à la porte. Il donna l'autorisation à la personne d'entrer. Toujours dos à la porte.


...: Je te demande pardon Sorrento.
Sorrento: (Se retourne) Bian? Qu'est-ce...que c'est?
Bian: Mmh...Un bouquet de fleur...
Sorrento: Pourquoi?
Bian: Uhm...Pour mes excuses... et j'ai...quelque...chose à te dire...uhm...tu veux bien m'écouter?
Sorrento: (S'assoit) Je t'en prie.
Bian: (Toussote) Mmh...Comment dire...uhm...Tiens. (tend le bouquet.)
Sorrento: (Le prend) Et?
Bian: Il y a une lettre...lit là. Je reviens. (Sors de la pièce)
Sorrento: Une lettre?


         Sorrento prit la lettre, posa le bouquet sur son bureau et prit la lettre.


       “Sorrento,
Pardon. Je n'aurais pas du dire ce que j'ai dit. Je ne le pensais vraiment pas. J'espère que tu pourras me pardonner. Et si tu ne veux pas me pardonné, je ne t'en voudrais pas. J'avais mal à chaque fois que je disais quelque chose sur toi. Je regrettais chaque mot qui sortait de ma bouche. Je pense que l'expression “tourné 7 fois sa langue dans sa bouche avant de parler” à était inventé pour moi. Enfin, je ne savais pas pourquoi j'avais mal dès que je disais ça sur toi. J'avais mal au coeur. Il se serrait. C'était affreux. Et je pense avoir compris. J'avais mal, parce que je rabaissé la personne que j'aime. C'est débile. Mais, je n'y peut rien. Je suis tomber amoureux de toi. De ton calme imperturbable. De tes yeux violet lilas. (D'où le bouquet de lilas...) Bref, j'aime tout de toi. Je ne suis certainement pas près de toi si tu lit la lettre...Je devrais me trouver devant la salle. Rejoins moi. Et s'il-te plaît...rejettes moi. Car je sais que tu es hétéro. Pardon, de t'avoir dit mes sentiments sans avoir pris les tiens en considération. Et merci de m'aider pour la lettre d'excuse.
Bian de l'hippocampe.”


       Sorrento sourit. Il se leva et ouvrit la porte. Comme c'était écrit. Bian était contre le mur d'en face. Il se redressa. Sorrento s'avança jusqu'à arriver assez près de lui.


Bian: (Rouge) Tu-tu as...lu la..let-lettre?
Sorrento: (Calme) Oui.
Bian: Je...vois...uhm...et? Euh...
Sorrento: Pourquoi veux-tu que je te rejettes?
Bian: Ah...euh, parce que tu...es hétéro...non?


         Sorrento plaqua Bian contre le mur, se mit sur la pointe des pieds, et lui murmura:


Sorrento: Qu'est-ce que tu en sais?


         Avant de l'embrasser langoureusement et amoureusement. Bian ne réagit pas de suite. Mais, quand il se rendu compte de ce qu'il se passait, il seras Sorrento contre lui. Ils se séparèrent par manque d'air et se regardèrent.


Bian: Tu...m'ai..
Sorrento: Je t'aime. Et ce, depuis un moment maintenant. Je l'avoue.
Bian: Wouah..C'est pas une blague?
Sorrento: Non. Pourquoi ça le serait?
Bian: Je ne sais pas...j'ai l'impression que c'est un rêve.
Sorrento: C'est la réalité. (L'embrasse) La pure vérité.
Bian: Je crois...que je n'arriverais pas à me concentrer ce soir pour la lettre...
Sorrento: Je veux bien te croire. (Rigole)
Bian: J'adore ton rire...
Sorrento: Uhm?
Bian: C'est un rire clair. Et cristallin. Il te correspond tellement bien.
Sorrento: Merci...On s'en va?
Bian: Mmh...


          Ils sortirent de l'établissement, et fermèrent les portes à clé.


Bian: Dit, ça te dit de venir chez moi. Ce week-end?
Sorrento: (Rougit légèrement) A-avec plaisir.
Bian: J'arrive pas à y croire. Mes sentiments son partager. Je t'aime. Tu m'aime. C'est le plus beau jour de ma vie!!
Sorrento: Oui. Moi aussi.


          À la fin de la phrase de Sorrento, ils entendirent klaxonner. Bian tourna la tête vers le bruit, et Sorrento se mit à crier en courant vers Bian:


Sorrento: ATTENTION!! BIAN!!


         Mais, trop tard...Bian se fit renversé par la voiture qui s'arrêta un peu plus loin. La personne courut vers l'adolescent à terre tout en appelant les secours.


Sorrento: (Près de Bian) Bian...Bian ouvre les yeux...ouvre les yeux...s'il-te plaît!! Ouvre les yeux...BIAN!!!


          Les secours arrivèrent quelques minutes après l'appelle. Ils laissèrent monter Sorrento, tandis que l'homme se faisait interroger par la police. Arrivé à l'hôpital, Bian fût emmener en soin intensif, et Sorrento fût interroger à son tour par la police. Une fois l'interrogatoire finit, il passa un coup de fil.


...: Allô?
Sorrento: Io? Je te dérange?
Io: Non. Pas spécialement. Je r'gardais la télé. Ça va Sorrento? T'as voix est bizarre. T'es où?
Sorrento: À...l'hôpital...
Io: (Affolé) Qu'est-ce qui c'est passé?
Sorrento: Bian...il...c'est...fait renversé...Io...s'il-te plaît...tu peux me rejoindre?
Io: J'arrive tout de suite. Je suis là dans 15 minutes. Ne bouges pas!! (Raccroche)
Sorrento: Où veux-tu que j'ailles...


        20 minutes plus tard, Io avait rejoins Sorrento. Et ils attendaient maintenant le médecin, qui devait les informés de la santé de Bian. Il sorti 30 minutes plus tard après l'arrivée de Io. Et les étudiants virent un lit allait ailleurs.


Sorrento: Comment...
Médecin: Il va bien. Il n'as que des égratignures. Certaines étaient beaucoup plus dangereuse que d'autres pour lui. Mais, nous les avons désinfectés et recousues. Il a aussi eu une commotion cérébrale suite au choque. Mais, nous l'avons prit en charge tout de suite. Il ne devrait avoir rien de très important comme dommage.
Io: Vraiment? Il n'auras aucune conséquences?
Médecin: Normalement...
Sorrento: Comment ça “normalement”? Vous avez dit...
Médecin: Il se peut...qu'il est une amnésie.
Sorrento: Amnésie?
Io: Temporaire? Ou...permanente?
Médecin: Nous ne pouvons pas encore le déterminé précisément. Nous pensons plus pour une temporaire. Mais...nous ne voulons pas vous donnez de faux espoir. Il se peut...qu'il devienne amnésique pour le restant de sa vie.
Sorrento:...
Médecin: Est-ce que vous savez où je peux joindre ses parents?
Io: Non...Désolé...
Sorrento: Il est orphelin.
Médecin: D'accord. Savez-vous si il est allergique à des médicaments?
Sorrento: Non...je n'en sais rien.
Médecin: Bien. Ce n'est rien. Voulez-vous qu'on vous ausculte?
Sorrento: Ce n'est pas moi qui me suis fait renverser par une foutue bagnole!!
Io: Sorrento! Calme toi. Excusez moi. Est-ce qu'on peut allez le voir?
Médecin: Il n'est pas réveillé.
Io: Peu importe. C'est un camarade de classe. On peut?
Médecin: Bien. Chambre 204. Allez à droite au fond du couloir. Ensuite, la chambre se trouveras à droite. Dans le fond.
Io: Merci. Sorrento. Tu viens.


            Sorrento et Io se dirigèrent vers la chambre indiqué. A peine il passèrent la porte, que Sorrento se précipita vers le lit et prit la main de Bian. Pleurant silencieusement, il appelait Bian. L'implorait de se réveillé. Io les laissa seul et passa plusieurs coup de file. Le lendemain, seul Sorrento et Bian étaient absent. Les professeurs étaient au courant de ce qui c'était passé la veille. Le directeur avait demandé aux de groupes de le rejoindre dans son bureau.


Mû: Qu'y a-t il Monsieur le Directeur?
Julian: Je suppose que vous êtes aux courant.
Pandore: Oui. Bien sûr. Nous le devons à Io.
Io: C'est normal. C'est votre ami.
Saori: Io. Tu as vu Sorrento hier. Comment allait-il?
Io: Comment seriez-vous en ayant vu l'homme que vous aimez ce faire renverser?
Shaka: Io.
Io: Le médecin d'hier m'as suffisamment gonflé.
Saori: Pourrais tu nous tenir au courant?
Io: Bien s- Uhm? Je peux?
Julian: Tout dépend de la personne.
Io: Sorrento.
Marine: Décroche!
Shaina Haut-parleur.
Io: (Met le haut-parleur et décroche) Sorrento?
Sorrento: Salut Io...Si je ne me trompe pas, on a pas cours à cette heure-ci pas vrai?
Io: Tu as raison. Est-ce que ça va?
Sorrento: Avec qui es-tu?
Io: Les personnes du groupe. Et les amis de Bian. Le directeur et la vice-directrice.
Sorrento: So....
Saga: Sorrento?
Sorrento: (Dans un souffle) Bian s'est réveillé.
Shun: C'est génial!
Thétis: Comment va t-il?
Sorrento: Il...
Shaka: Sorrento? Ça va?
Sorrento: Il est amnésique.
Aiolia: Merde...
Camus: Sorrento...
Milo: Tu tiens le coup.
Sorrento: Mouais...
Rhadamanthe: Tu sais si c'est...
Kanon: Permanent?
Sorrento: Apparemment, ça serait temporaire.
Seiya: C'est déjà ça.
Io: On viendras ce soir. Ok?
Sorrento: Mmh...
Shaina: J'ai pris ton Espagnol.
Saga et Kanon: Et moi, ton latin.
Rhadamanthe: Je me suis chargé de l'anglais.
Aphrodite: J'ai pris le prochain sujet pour l'art.
Camus: Je me suis occupé de ton français. Tu n'auras aucun retard.
Milo: Et moi, j'ai pris ton français.
Sorrento: Merci les amis. Je retourne voir Bian. À se soir.
Tous: À ce soir.


            Les élèves retournèrent en cours. Ils mangèrent tous ensemble. Et quand 18 heure arriva, ils allèrent ensembles dans la chambre de Bian. Ils toquèrent:


Sorrento: Ce sont des amis à nous. D'accord?
Bian: Mmh...
Sorrento: Vous pouvez rentrer.


            Ils rentrèrent dans la chambre, et fermèrent derrière eux.
 
Ikki: Yo!
Camus: Bonsoir Sorrento.
Bian: Bonsoir...
Seiya: Tu ne te souviens vraiment plus de nous?
Bian: Désolé.
Eaque: On sait que c'est temporaire. C'est déjà ça.
Bian: ...
Sorrento: Tu verras. En leur parlant, tu te souviendras de quelque chose. J'en suis sûr. (Souri) Je vais chercher à boire. Vous voulez quelque chose?


          Ils passèrent commande. Sorrento se tourna vers Bian:


Sorrento: Tu veux quelque chose?
Bian: Uhm...Un jus de kiwi.
Minos: Tes goûts ne changeront pas. Même amnésique.
Bian: Ha...
Sorrento: Bon, je vais chercher tous ça. Je reviens.
Io: Je vais t'aider. (Sors avec Sorrento)


         Io et Sorrento allèrent chercher à boire, tandis que les autres parlaient du passé de Bian. Quand Io et Sorrento rentrèrent, Bian rigolait.


Sorrento: Qu'est-ce que?
Seiya: Délégué! Bain, se souvient de certaine chose!
Sorrento: C'est vrai?
Bian: Je me souviens, je pense de toute mon enfance. Et aussi, que je devais écrire une lettre d'excuse à un professeur.
Saga: C'est des souvenirs assez proche.
Thétis: Il pourrais se souvenir de tout.
Sorrento: Mmh...(Tend le verre à Bian.) Tiens. Ton jus de Kiwi.
Bian: Merci. (Boit)


           Tous le monde l'imitèrent.


Bian: Ça n'as pas le goût de Kiwi.
Sorrento: Vraiment? Je me serais tromper...(Boit son verre) C'est ton verre que j'ai.
Bian: C'est pour ça.
Sorrento: (Lui tend) Désolé.
Bian: Ce n'est rien. Ce goût...il m'est familier... Il me semble, que je les déjà goûter. Mais, il n'était pas si fort.
Deathmask: Qu'est-ce que tu t'es pris?
Sorrento: Un jus de framboise.
Milo: Décidément...tes goûts sont vraiment bizarre.
Bian: De la framboise...
Io: (Souri) *J'ai une idée...*


          Io s'approcha de Sorrento, qui était dos à lui, et le poussa en direction de Bian. Sorrento tomba sur Bian. Io fit sortir tous le monde, chose pas trop compliqué, car ils avaient tous compris où il voulait en venir.


Sorrento: Pa-pardon...(Rougi et détourne la tête)
Bian: Ce...n'est rien...
Sorrento: (Commence à se redresser.) Vraiment...je...j'ai dût...glisser...


          Bian attrapa la nuque de Sorrento et pressa ses lèvres contre celle de Sorrento. Le jeune homme aux yeux lilas ne bougea pas. Trop surpris, mais heureux de se baiser. Il passa ses bras autour du cou de Bian. Celui-ci se recula légèrement, assez pour pouvoir lui parler et le regarder dans les yeux.


Sorrento: Bian...
Bian: Sorrento...Je t'aime...
Sorrento: (Larmes aux yeux) Tu...
Bian: (Le serre dans ses bras) Pardon, j'ai dût te faire peur...je t'aime. Je t'aime. Plus jamais je ne te ferais ça...Je t'aime...
Sorrento: (Souri et pleure) Je t'aime aussi...Tellement que je mourais pour toi.
Bian: Ne meurs pas. Vis avec moi. Vis pour moi.
Sorrento: Mmh...(le serre fort) J'ai eu tellement peur...
Bian: (Regarde Sorrento) Je suis là. Tu n'as plus à t'inquiétais. Je t'aime...(l'embrasse)


            Sorrento répondit au baiser. Mais, ils se firent interrompre par leurs amis qui voulaient savoir comment allé Bian. En voyant Sorrento à moitié sur le lit certains rougir, d'autres détournèrent les yeux. D'autres plaisantèrent sur eux. Ils restèrent à parlaient de longues heures. À 19h46, une infirmières passa, et leurs dit qu'ils devaient partir, car le temps des visites étaient terminé. Même si elle les avaient laissé plus longtemps ensemble. Sorrento fût le seul autorisé à rester. Le médecin examina Bian, et le jugea aptes à sortirent Lundi. Sorrento passa la nuit dans les bras de son amant et ils en étaient très heureux tout les deux.


                  5 ans plus tard:


         Au centre de la ville, dans un appartement, dans une chambre. Un réveil sonnait.


Bian: Je vais démolir se réveil.
Sorrento: Ha non! C'est le 4 ème qu'on rachète en même pas 2 mois.


        Bian et Sorrento habités ensemble depuis 5 ans, ils voyaient toujours leurs amis. Sortaient quelque fois en boîtes avec eux. Ils étudiaient tous les deux pour être professeur à l'université. Sorrento en tant que professeur de Littérature. Et Bian, professeur d'anglais.


Bian: Mais merde! On est samedi. Et c'est les vacances!
Sorrento: Et alors? Il faut se levé tôt parfois.
Bian: Aye aye. (Prend son téléphone)
Sorrento: Ha non! Interdit d'y toucher!
Bian: Hein? Pourquoi?
Sorrento: (L'embrasse) Parce que, c'est comme ça.
Bian: Tu sais que tu me chauffes...
Sorrento: J'en est conscience.
Bian: Et tu sais, que je peux te refaire ce que j'ai fait cette nuit?
Sorrento: Va à la douche. Je vais préparer le p'tit déjeuner.
Bian: Le grand maître à parler.
Sorrento: C'est pas drôle!
Bian: (L'embrasse langoureusement) Mais qui à dit que je plaisanter? (Va dans la salle de bain.)


       Sorrento se leva le sourire au lèvres. Il attendit d'entendre l'eau coulait pour préparer la table. Une fois fait, ce qui avait durée 5 minutes, il déposa un cadeaux sur l'assiette de Bian. Puis, il s'assit à sa place. Bian sortit de la salle de bain, et alla s'asseoir en face de son aimé.


Bian: Qu'est-ce que c'est?
Sorrento: Ouvre. Tu verras.
Bian: On faites quelque chose?
Sorrento: Si on veux.
Bian:...Ne me dit pas que j'ai encore oublié la date de notre premier baisé!?
Sorrento: Mais non. Allé! Ouvre!
Bian: (Ouvre le cadeau) C'est...
Sorrento: Bonne anniversaire.
Bian: C'est aujourd'hui?!
Sorrento: (Rigole) Oui.


           Bian se leva et vint enlacer Sorrento tout en l'embrassant et le remerciant.


Bian: Dit...comme c'est mon anniversaire...on peut faire ce que je veux?
Sorrento: Oui.
Bian: Tous les téléphones sont éteints?
Sorrento: Sauf le fixe, qu'il faut débranché.


           Bian débrancha le fixe, alla vérifier que la porte était fermé à clé. Les fenêtres pareil, ce qui faisait rire Sorrento.


Bian: Tout est fermé. Tout est débranché. Il n'y a rien sur le feu ou dans le micro-ondes. Donc!


            Bian attrapa Sorrento par les hanches et le mit sur son dos comme u sac à patate. Il l'emmena dans la chambre, le posa délicatement sur le lit, ferma la porte de leur chambre. Et se mit au-dessus de lui.


Bian: Sorrento de la Sirène...je vous aime...
Sorrento: Bian de l'hippocampe. (Entoure son cou) Je t'aime. (L'embrasse)

          Ils passèrent la journée au lit. Je ne dirais pas ce qu'ils faisaient...c'est assez explicite. Au grand dam de leur voisin, qui n'était autre que certains couples de leurs amis. Et oui, car ils habitaient quasiment tous la même rue. Comme quoi. Les opposés peuvent s'attirer.

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 Lien de l'article: http://fairy-saber-2.skyrock.com/3251208238-OS-Saint-seiya-pour-fangirl-saintseiya.html

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Encore merci pour ce magnifique OS

Il est super!